Création de jardin thérapeutique en institution

Vous avez envie de développer un jardin à visée thérapeutique, pédagogique ou sociale au sein de votre établissement, de votre commune, de votre quartier ? Nous proposons un accompagnement sur base d’une méthode participative, alliant attentes des bénéficiaires, objectifs sociaux et thérapeutiques et respect de l’environnement et de la biodiversité.

Un accompagnement en 3 phases

L’accompagnement se déroule en trois phases, avec un groupe de travail composé des accompagnateurs.trices et de membres du personnel (min 2 personnes, max 4 personnes). La dernière phase (formation et suivi) est destinée à l’ensemble du personnel.

1. Analyse et design du jardin

Une première phase pour :

  • Analyser les ressources internes et externes de la structure
  • Relever les objectifs sociaux et/ou thérapeutiques
  • Concevoir un design de jardin adapté aux ressources, aux attentes et aux objectifs définis

2. Implémentation

Une seconde phase pour :

  • Organiser les chantiers participatifs (si implémentation participative)
  • Mettre en place les dispositifs du jardin

3. Suivi et formation

Enfin, une troisième phase pour :

  • Outiller les professionnel.le.s face au jardin de soins (1journée de formation)
  • Assurer le suivi (intervision et supervision) à intervalles réguliers

Accompagnateur·trice·s

Julien Hanse, naturaliste et créateur de jardin de soins
Anne-Claire Orban, praticienne en hortithérapie et formatrice

Prix

Devis sur mesure en fonction des étapes et des ressources disponibles dans la structure

Apparus dès la fin du 19è en milieu hospitalier, les jardins thérapeutiques sont définis comme des espaces qui permettent à l’individu de maintenir ce lien avec la nature, de favoriser l’interaction avec le milieu naturel, notamment par l’apport sensoriel fourni par ses composants naturels.

Les travaux de Roger Ulrich en 1980, ont démontré que la vue sur un jardin contribue à réduire la sensation de douleur, le stress et l’anxiété, et améliore la récupération des patient.e.s. Ce qui réduit la durée des séjours hospitaliers.

Pour Louise Bernez (2017) « Ces bénéfices deviennent actuellement indispensables pour diminuer les traitements médicamenteux des troubles psychocomportementaux de certaines pathologies telles que la maladie d’Alzheimer et pour gérer l’affluence des souffrances psychologiques des patients. »

Amélioration de la récupération, du bien-être global, diminution de l’anxiété, amélioration de l’humeur et des compétences relationnelles, … Intéressant n’est-ce pas ?